A une époque où le virtuel supplante le réel, où le courrier électronique remplace peu à peu les lignes manuscrites, je suis très sensible au fait que des personnes prennent le temps d’écrire à l’auteur de l’ouvrage qu’elles viennent de lire. Je reçois beaucoup de lettres de lecteurs et je me fais un devoir d’y répondre… avec plus ou moins de retard, je l’admets ! Certaines sont vraiment très touchantes. Florilège.

A propos du Samouraï qui pleure :

« J’ai lu votre roman avec un plaisir rare. L’intrigue est très bien construite, le suspense entretenu comme il se doit. Voilà ce qui importe avant tout. Le milieu dans lequel se déroule l’histoire est en outre fort original, ce qui ne gâte rien, et votre connaissance du Japon à de quoi impressionner ! Bon courage pour la suite, l’avenir vous tend les bras. »


« Je viens de lire Le samouraï qui pleure. Je referme le livre après l’avoir lu sans pouvoir le lâcher de la première à la dernière page et, aussitôt, tiens à vous exprimer toute la joie que m’a donnée cette lecture. Le style, vivant et coloré, m’a beaucoup plu. Les personnages sont bien campés, l’histoire attachante de bout en bout. Alors bravo pour ce premier ouvrage qui devrait marquer le début d’une brillante carrière ! »

A propos de L’Ombre de Janus :

« L’Ombre de Janus m’a fait passer d’excellents moments de suspense. Votre œuvre vous place au rang des grands de ce genre littéraire, que ce soit les Anglais ou les Américains… Êtes-vous dans la police pour décrire aussi bien ce milieu ? »


« J’ai tout simplement adoré et dévoré votre livre ! Depuis la minute où je l’ai ouvert, j’ai eu un mal fou à le fermer quand j’y étais obligée ; j’ai même, plusieurs fois, failli rater ma station de métro le matin quand j’allais au travail tellement j’étais captivée, passionnée par la lecture de votre roman. Il est bien écrit, il se « lit tout seul », il fourmille de petits détails passionnants (tous les détails sur Versailles, les lieux, les différents services de police, etc.) A la fin, on est à la fois heureux de l’avoir lu et triste de l’avoir terminé. Je l’ai adoré ! Merci pour ce moment de pur bonheur de lecture. Au plaisir de vous lire encore… »


« J’ai lu avec infiniment de bonheur L’Ombre de Janus. Je l’ai lu en deux jours, c’est vous dire tout l’intérêt que j’y ai pris ! L’intrigue est admirablement ficelée. Jusqu’à la dernière ligne, le suspense va crescendo. J’avais déjà aimé votre premier livre, j’ai préféré celui-ci… Il y a beaucoup d’auteurs de polars qui ont un succès monstre et qui ne vous valent pas. Franchement, chapeau bas ! »


« J’ai beaucoup aimé votre livre, pour plusieurs raisons. Le personnage du commissaire Legac m’a vraiment plus. Les intrusions dans sa vie privée permettent de mieux le cerner et ainsi de mieux l’apprécier… Les énigmes qui apparaissent dans le livre ajoutent de l’intérêt à l’enquête et le meurtrier devient de plus en plus intriguant. J’ai aimé les références mythologiques, notamment celles à éros et thanatos (elles m’ont aidé en cours de philosophie !) Enfin, la chute est surprenante. Elle ne clôture pas vraiment le livre. Au contraire, elle permet d’imaginer une éventuelle suite… »

A propos Des pas sous la cendre :

« J’ai lu votre livre très vite : je veux dire par là que la publicité ne ment pas, et qu’on veut connaître la suite et la fin. Surfant sur une impressionnante documentation (je me suis demandé si vous travailliez pour la police), vos personnages sont hyper attachants. J’ai adoré l’intrigue mais aussi l’histoire entre Isabelle et Sage : le jeu de l’amour et du pouvoir contre des forces qui franchissent vite les limites sociales… Tout cela est très séduisant ! »

A propos du Baiser de Jason :

« Le baiser de Jason m’a maintenu éveillé toute la nuit ! Cela ne m’était pas arrivé depuis… Le silence des agneaux de Thomas Harris. Une nuit passée en compagnie de vos personnages. Je ne trouve pas les mots. J’avais dévoré L’Ombre de Janus et Des pas sous la cendre, mais alors là… Bravo ! Vous êtes au niveau des plus grands. Autant vous dire que j’attends le prochain Scalese avec impatience. »